Fugitif éclat de Rocky IV dans la nuit de l’être





Le vent qui héberge les prairies de passage
connaît parfaitement les consignes sur le ring.

Dans sa chute, la feuille a déplié
son drapeau russe, et personne n’a pu la battre.

Les prés et leur poids d’ombres vieilles
savent ce qu’Appolo est en train de faire et

pourquoi il le fait, sa hache comme la fable
qui conte le feu, pour le plaisir de couper.

Allez plutôt voir ce qu’ils font dans la salle
à manger, tous ces nostalgiques de la haie longue et

basta, dit Rocky. Le soir siffle chiens et labours ;
les cris de la foule ont légèrement changé.




– G.D. & S.R.

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