Wonderbox : encore du chemin


Flattag fabrique des livres aux antipodes de la wonderbox : moches, mal imprimés, mal photographiés, reliés à l’arrache par du fil pour viande de pot-au-feu (délicieux), édités à 10 exemplaires qui s’épuisent aussi vite, donc, que des best-sellers pour grands-mères addicts à l’eau de rose comme à la littérature punk. Parmi les 10 exemplaires, il s’en trouve un, toujours, qu’on réserve à l’infiltration : glissé entre les pages de n’importe quelle bande dessinée de n’importe quelle librairie, il n'attend plus que vous, qui aurez la chance de pouvoir vous exclamer, ravis : « Tiens, mais qu’est-ce que c’est que ce truc au beau milieu de mon Boule et Bill » 



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